Revue de Presse

Lanouvellerepublique.fr

Septembre 2017

max dupuy

C’est une cinquantaine de toiles grands et moyens formats que Max Dupuy expose au pavillon Charles-X jusqu’au 2 octobre. Des peintures qui, abstraites ou figuratives, se caractérisent par leurs compositions identiques.

Elles sont traitées en à-plat, ce qui leur donne un aspect très lisse, sans perspective et sont construites à base de carrés qui se multiplient jusque dans les fonds de toile.
Le travail sur la couleur de cet artiste est étonnant. Il utilise une très large palette avec des tons à la fois vifs et doux, inhabituellement assemblés et qui, pourtant, sont curieusement en harmonie.
« Toutes les teintes peuvent s’harmoniser si on équilibre la valeur et la saturation », explique Max Dupuy. Celui-ci fait partie d’un groupe de peintres, Le Collectif octogone, qui participe essentiellement à des travaux de recherche sur la couleur.

Carrés et couleurs sont donc réellement au service de la peinture de l’artiste. « Le carré, forme simple, me permet de faire vibrer les couleurs, de les mettre en valeur sans les perturber par un dessin trop prégnant », explique-t-il encore.
L’une de ses toiles, le triptyque « Polka funèbre » est un peu différente puisque les sujets sont cloisonnés et apparaissent de façon plus figurative.
Pour cette exposition, Max Dupuy a privilégié le thème animalier et ses animaux sont toujours en mouvement.

Jusqu’au lundi 2 octobre, au pavillon Charles-X, parc de La Perraudière. Entrée libre. Renseignements : tél.02.47.42.80.21.
https://www.lanouvellerepublique.fr/actu/faune-sauvage-et-couleurs-apprivoisees

 

Lanouvellerepublique.fr

Janvier 2016

 

Si l’exposition que présente Max Dupuy au pavillon Charles X s’intitule «Serial Carrés», c’est que le module de base du travail de l’artiste est le carré. Max Dupuy a toujours aimé les images : «Je trouve que les images sont sages et rassurantes. Enfant, j’ai adoré les illustrations de Benjamin Rabier pour les Fables de La Fontaine. J’aime m’amuser avec la couleur».
Formé aux Beaux-Arts de Toulouse, il enseigne pendant de nombreuses années les arts plastiques et les arts appliqués, et participe pendant quinze ans au collectif Octogone, un groupe de recherche qui travaille sur la couleur. L’artiste utilise essentiellement l’acrylique, matériau le mieux approprié pour les aplats de couleurs sur toile. Peindre, pour lui, c’est établir des relations singulières entre des éléments colorés sur une surface plane, la transformant ainsi en espace spécifique. «La surface plane est l’aire de vie fondamentale de la couleur. Dans l’espace ou dans la nature, il n’y a pas de couleur, il n’y a que des phénomènes colorés» explique-t-il. « Par des effets d’ombre et de lumière, le volume altère systématiquement la couleur ; celle-ci ne peut donc s’exprimer dans sa plénitude que sur une surface plane ».
Ce sont les formes simples qui lui permettent de faire vibrer les couleurs. Le carré est l’un de ses outils visuels préférés : il lui permet d’appréhender les interactions entre les couleurs tout en assurant une continuité visuelle à l’ensemble de son travail. La peinture de Max Dupuy n’a besoin d’aucun artifice, elle prend sa dimension dans le regard du visiteur.
Jusqu’au 17janvier de 14 h à 18 h en semaine, de 11 h à 18 h 30, le week-end. Vernissage samedi 9 janvier à partir de 17 h 30.

 

La Nouvelle République
7 août 2012

La nouvelle république 7 août 2012

Le Forum des arts Plastiques
Février 2011

"LE FORUM DES ARTS PLASTIQUES" Février 2011

La Nouvelle République
7 décembre 2011

Roullet. La Nouvelle République . décembre 2011.

« Ce peintre fait partie d’un Collectif baptisé OCTOGONE,  qui se focalise sur la couleur. Peindre, c’est d’abord maîtriser la couleur, expliquent ces artistes qui font des recherches et expérimentent toutes les possibilités de la couleur dans une démarche rigoureuse (…) Dans cette démarche très technique, ces peintres considèrent également que la surface plane est l’aire de vie fondamentale de la couleur, qui est altérée par les effets de lumière ou de relief, par exemple, dans un espace en trois dimensions ».

Le Forum des Arts Plastiques
Février 2011

 

« On est presque tenté de qualifier Max DUPUY de peintre minimaliste tant il réussit à faire l’économie de moyens pour exprimer le trop de messages qu’il engrange. Le silence et le langage se côtoient en permanence et l’on ne sait pas qui aura le dernier mot. Peintre immatériel, Max DUPUY n’a pas de complexe face à la complexité du discours: et de sa peinture ésotérique émerge un message dépouillé plein de sagesse et de profondeur »

 

Le Nouvelliste de Saint-Aignan (41)
Programme Eté 2009

 

« Dans le travail de Max Dupuy, la couleur n’est pas réduite à un rôle secondaire, mais au contraire, elle est bel et bien consubstantielle à la forme et l’on ne peut donc l’en dissocier. Pour lui, la forme appelle la couleur, mais si elle est suscitée par la forme, la couleur oblige le peintre à dessiner d’une manière singulière. »

 

L’indépendant de Perpignan (66)
Août 2007

 

« Les oeuvres de Max DUPUY expriment véritablement sa sensibilité exacerbée par la couleur(…)qui représente le travail de toute une vie. Il en connait la grammaire et le vocabulaire. Il recherche la maîtrise de l’élément constitutif de l’image, la structure , le plan, l’espace, l’épiderme, la lumière, la couleur, la composition »

Nicolas Boussu.

La Dépèche du midi
Août 2005

« Peintre de l’espace et de la lumière, Max Dupuy, ne peint pas des paysages, ses tableaux surprennent et intriguent le regard. Il sait à merveille conjuguer le bleu à l’infini,sa peinture moderne non figurative nous interpelle, il s’en dégage une atmosphère étrange à la limite du rêve et de la réalité, mais qui ne laisse pas indifférent »

Lucien Martin. En introduction à l’exposition au Carroi.
Montlouis-sur-Loire (37).
Janvier 2002.

« Pays sages, brisures, lignes de force, courant d’air ou le rendez-vous des traces. »

 

La Nouvelle République
Juillet 2001

 

« A l’aide d’arabesques de couleur, de répétition de motifs, de collage de variation de teintes, l’artiste a construit un univers féerique, scintillant, un univers où rêve et liberté sont omniprésents »

 

La Nouvelle République
Août 2001

La nouvelle République - Juillet 2007

La Dépêche du Midi
Juillet 2001

la dépêche du Midi Juillet 2001

L’Alsace
Mars 1993

 

Comment éveiller la curiosité esthétique des jeunes du Lycée  Lazare de Schwendi? A cette question max Dupuy, professeur d’arts plastiques, a trouvé une réponse simple et pourtant originale: Par l’observation du réel et sa transposition;
Le réel a Colmar, c’est le paysage viticole.(…) Le réel ce sont donc des rangées de vignes avec leur espace, leur disposition, leur rythme et leur végétation.
Comme pour le peintre, l’art, c’est la couleur, Max Dupuy et ses élèves ont imaginé que les piquets de vignes pouvaient constituer un excellent support de la couleur à la morte saison.(…) rouge, jaune, orangé, bleu et ainsi ont-ils colorisé le Letzenberg et l’ont-ils transformé peut-être en une nouvelle montagne Sainte Victoire que n’aurait pas dédaigné un certain Cezanne. »

 

Exposition au Château D’Amboise
Janvier 1989

Lucien Martin en introduction à l’exposition
Salle du Moyen-Âge Château royal Amboise. (37). Janvier 1989

 

 » les parcelles de surfaces non closes tuilent l’espace. Tout ne devient que passage, chevauchement. Architectonie de l’oeuvre. Les équilibres tiennent, à la limite de la rupture.
Fragilité des espaces sans cesse menacés par ce risque toujours de poindre. »

 

Exposition à l’Orangerie d’Amboise
Juin 1988

Michel Debré présidait le vernissage de l’exposition
à l’ Orangerie du Musée de la Poste. Amboise. Juin 1988.

 » Dans notre temps la peinture s’est diversifiée. De grands artistes, depuis une cinquantaine d’années, ont ajouté à la tradition une orientation nouvelle que l’on dit « abstraite » ou « non figurative ». Il a fallu un certain temps d’adaptation pour comprendre cet effort nouveau qui à travers des compositions de couleurs variées, voire de collages, entend traduire d’une manière inusitée soit la vue du monde extérieur, soit l’expression de sentiments personnels et d’impressions momentanées ou durables. Grâce à de nombreux artistes, cet art abstrait a désormais conquis droit de cité, et pour ne parler que des morts, Max Ernst, qui fut si longtemps tourangeau a montré la voie.(…) Max Dupuy, a l’ambition justifiée de se situer parmi ces créateurs. Que cette exposition d’ Amboise soit pour lui, non seulement un succès mais un point de départ, et que son talent puisse s’épanouir. »

L'orangerie

Exposition au Musée de la Poste
Juin 1988

Musée de la poste 1988

Peinture Murale
1986

peinture murale 1986

peinture murale 1986

Exposition à l’Orangerie du Musée de la Poste Amboise
Juillet 1982

1982

1982

Exposition à La galerie de la Tour Amboise
Juillet 1977

1977

La Dépèche du midi
Juillet 1971

Jean Duffert

« Mélange d’arrogance et d’humilité, d’affirmation et de questionnement, couleur saturée subtilement, entre support et espace, c’est un travail d’exigence, sans compromission. »